Mariana Fagundes a soutenu sa thèse, consacrée au médiactivisme féministe numérique

Son travail cherche à comprendre et à analyser les processus qui soutiennent le médiactivisme féministe en tant que monde social – selon la notion proposée par Becker – traversé par d’autres mondes (ceux du journalisme, de l’activisme numérique et du militantisme politique). Le médiactivisme féministe désigne les processus dans lesquels les activistes féministes utilisent des dispositifs sociotechniques pour construire
de nouvelles formes de création et d’écriture sur le web en utilisant la technologie numérique, les plateformes en ligne, les réseaux sociaux et l’appropriation des techniques journalistiques.

L’objectif de la recherche est de comprendre, à partir des trajectoires des membres du monde social et en se fondant sur les cas du Brésil et de la France, comment se structurent et pourquoi se maintiennent les publications médiactivistes féministes numériques au Brésil et en France.

Le Jury était composé de :

Erica Guevara. Maîtresse de conférences – Université Paris 8 Vincennes – Saint Denis
Eugénie Saitta. Maîtresse de conférences – Université de Rennes
Florence Le Cam. Professeure – Université Libre de Bruxelles
Isabel Travancas. Professeure – Université Fédérale de Rio de Janeiro
Liliane M. Machado. Professeure – Université de Brasilia
Virginie Julliard. Professeure des universités – CELSA-Sorbonne Université

Dir. de thèse : Béatrice Damian-Gaillard Professeure des universités – Université de Rennes
Co-dir. de thèse : Fábio Henrique Pereira Professeur – Université de Brasilia