La confrérie des Gnaoua a toujours éveillé la curiosité. Celle des Marocains, d’abord, entre rejet et envie ; celle des chercheurs, ensuite, qui sont nombreux à avoir étudié ses rites ; celle des touristes, enfin, qui croisent ses membres dans de nombreuses médinas marocaines. Mais comment cette confrérie ancestrale a-t-elle su se maintenir aussi bien dans le temps ?
Camille Bigo, étudiante en journalisme à l’ULB a décidé de raconter leur histoire en se rendant à leur rencontre au Maroc et à Bruxelles. Son travail prend la forme d’un webdocumentaire et d’un document de recherche qui proposent un aperçu de la confrérie des Gnaoua et de son évolution.